sensations

La foule ne ressemble à rien, qu'à ce fond de couleurs obligé...pour le tableau parfait des retrouvailles. C'est ainsi que tu l'imagines,l'esprit emporté par le vent de ton désir. Il y aura un bruissement de vos deux impatiences,et la fusion du baiser...Un...

Il y a ces espaces pointillés de rage ou la colère plaque son battement métallique contre ta poitrine...Ou tu pèses le poids des mots comme des anneaux enchevêtrés qui veulent s'amuser de toi. Cette houle de feu montante,et hurlante que tu retiens. Serrement...

Il est bon,le matin des certitudes ou le coeur plein de promesses et de devenir tu arpentes les rues d'un pas de danse inaltéré. Chacun de ces pas te rapproche de l'être qui ne sait pas encore à quel point son nom projette d'étincelles sur le bord de...

Dimanche 2/8/09 Il faut pousser le battant de la fenêtre, j'ai froid le monde est moins amer dans ma tête ! Protège moi de la haine sournoise qui luit dans chacun de ces regards l'amour me rendra invincible à nouveau Comme au temps blafard ou je traçais...

Il y a toujours cet empèchement à cerner le vrai du mensonge ce discernement qui ronge Elle les pudeurs les larmoiements Lui Ecoeurement .. Culpabilités flétries d'un présent qui s' ignore... Les jours et les appats se referment , Erreur de cible et d'innocence....

Dans cette maison les fleurs poussent au plafond Des courants d'air habitent le salon J'aime cet air de paysage intérieur ou rien ne sert qu'à l'apaisement.. La nuit en dentelle au crêpe marine ...sombre à travers le carreau La maison a grandi transmutée...

L'extravagance du ciel d'été en ce jour de juillet ou la fenêtre ouverte m'appelle;un ciel citadin plus éclatant que mes anciens paysages..L'air en demi pastels,réveille les herbes vigoureuses du pré( pelouse dirais- tu moqueur..) et des chants,des piaillements...

Premières heures blanches de l'éveil Quelques tâches de pétales au silence L'étirement de l'esprit contre ton corps égaré Torpeur Un froissement m'effleure Le geste hésite ne pas encore rompre l'espace

Peau douce enveloppante et l'esprit s'enfuit hors de lui même Aucun mot ne nait dans le bien être de la présence Je te recrée plus tard Le monde se métamorphose aux saveurs de ta voix.

Au bout de l'anti-je et de la destruction Au bout des faussetés, des cruautés qui t'arrachent le coeur des tendresses à la déraison là ou l'horizon te rejette.. Il ne subsiste ... Que les mots, ces mots magnifiques à effleurer avec prudence tant ils en...